René Angelil est en tournée de promo en France pour son livre autobiographique intitulé Derrière Le Conte De Fées où il fait d’amusantes révélations mais aussi évoque le courageux combat de son couple pour avoir un autre enfant.
“René-Charles adore aller à la Cité des sciences. Mais quand on est ici, Céline coûte
. Elle se promène dans les boutiques et achète beaucoup de choses.” On savait que René Angelil était riche, qu’il ne comptait pas les mots d’amour pour Céline Dion… mais qu’il était aussi près de ses sous. Mais il plaisantait, c’est sûr, lorsqu’il a fait ces déclarations à nos confrères du Parisien alors que le mari-producteur de
était « de passage chez nous pour assurer la promotion de Derrière Le Conte De Fées . Une »autobiographie où il est question de lui, mais aussi de sa star d’épouse”, précise le quotidien.
Lequel nous confirme que Céline Dion sera de retour à Las Vegas l’année prochaine au Caesars Palace. Pourquoi aller prêcher une nouvelle fois dans le désert (du Nevada)? Pour que, pendant que madame chante devant des salles noires de monde, il aille flamber sur les tapis verts? Car René admet dans son ouvrage qu’il est « fan de poker, perdant ou gagnant beaucoup . » En tout cas, si Céline Dion est repartie pour 70 concerts au pays du jeu, elle miserait bien une nouvelle fois sur la martingale qui a fait son succès.
A savoir,
dont le titre D’Eux s’était arraché à sept millions de galettes il y a quinze ans, a toujours été le porte-bonheur de chacun des albums de Céline Dion. Mais le génie du tube prend du recul. Et René Angelil s’estimerait déjà verni si l’homme qui marche seul voulait bien signer un ou deux titres pour le futur opus de Céline Dion. Voire de le produire! Mais si les musiques sortiront d’un studios français, si c’est aussi dans notre langue que Céline Dion donnera de la voix, elle ne viendra pas l’enregistrer en France.
Question projets, évidemment, reste le combat de femme, mais aussi de couple, que mène Céline Dion depuis trop longtemps: devenir mère une autre fois. « On espère un deuxième enfant, confie René au Parisien. C’est plus difficile que la première fois, mais l’espoir est toujours là. Si cela se fait, tant mieux. Sinon, on a la chance d’avoir un fils formidable. » Un sportif, paraît-il. Mais maman ne manque pas de souffle non plus.
J.-F.T.
Mercredi 17 mars 2010
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