Si Arielle Dombasle n’est financièrement pas dans le malheur, elle n’a pas toujours été aisée, et s’était même fait plumer par un ancien compagnon. L’argent, c’est un sujet qu’elle a évoqué sur RTL en se souvenant de ses jeunes années.
La star, que l’on retrouve dans le spectacle Les Parisiennes, a raconté avoir commencé à conduire très tôt. “J’ai conduit depuis l’âge de 12 ans de grandes Chevrolet au Mexique [pays où son grand-père était ambassadeur de France et son père industriel, NDLR], sans permis évidemment et à fond la caisse à travers le pays“, a-t-elle relaté. Arielle Dombasle a ajouté avoir poursuivi cette conduite illégale en France, lors de son arrivée quand elle était dans la vingtaine. “J’ai continué un grand moment mais après, ça s’est très mal terminé, par une somme de contraventions phénoménale. Que j’avais méritées…“, a-t-elle ajouté.
Arielle Dombasle, qui doit prochainement faire son retour au cinéma comme réalisatrice avec le film Alien Crystal Palace, a ensuite expliqué comment elle faisait pour ne pas payer. “Quand je recevais le petit papier rose, je le renvoyais en marquant : ‘Décédée’“, a-t-elle confié ! Une solution culottée mais de courte durée. “Le temps que les ordinateurs comprennent tout ça, ça me laissait le temps de ne pas payer. Je croyais qu’il y avait une prescription mais pas du tout ! Ça c’était accumulé, multiplié… C’était horrible !“, a-t-elle admis. Si l’épouse de Bernard Henri-Lévy avait autant d’amendes, c’est parce qu’elle se garait de son propre aveu n’importe où mais de manière à se sentir en sécurité la nuit en marchant le moins possible. Désormais, c’est en voiture avec chauffeur qu’elle se déplace…
Thomas Montet
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