Selon un étude Ipsos et Sigvaris, 61 % des Français souffrant d’insuffisance veineuse l’ignorent. Résultat : la prise en charge médicale indispensable de leur problème trop tardive les expose à plus de risque de complications.Plus d’un tiers de la population française est concernée par l’insuffisance veineuse. Il s’agit d’une maladie très handicapante et directement responsable de 27 000 décès par an en France. Pourtant, 57 % des femmes et 26 % des hommes atteints ne relient pas leurs symptômes à la pathologie. Ainsi, 60 % des Français consultent un médecin lorsque la maladie est déjà installée et 15 % lorsque les complications apparaissent. Cette prise en charge tardive est d’autant plus inquiétante que l’insuffisance veineuse est une maladie évolutive dont les conséquences vont d’une altération de la qualité de vie à l’engagement du pronostic vital. Mauvaise d’information du grand public, mauvaise de prévention de la part des médecins ? Si 34 % des patients se disent trop peu informées, 73 % des médecins interrogés avouent qu’ils devraient davantage sensibiliser leur patients.L’insuffisance veineuse se traduit par différents symptômes tels que les jambes lourdes, des gonflements, des varicosités ou encore des crampes nocturnes. De graves complications peuvent survenir : oedèmes, varices, ulcère variqueux, phlébite, embolie pulmonaire etc.Cette maladie n’est pourtant pas une fatalité. Il existe quatre types de traitements efficaces : l’allopathie (prise de médicaments qui fluidifient le sang), la compression médicale (bas, collants ou chaussettes de compression etc.), la sclérothérapie (injection d’un produit capable d’améliorer le tonus des parois veineuses) et enfin la chirurgie. Pour en savoir plus découvrez nos dossiers sur les
jambes lourdes et la
thrombose veineuse.Emmanuelle VieillardSource : Communiqué Sigvaris, leader des fabricants de bas de contention – janvier 2010Click Here: Golf special