Le déplacement du pape François au Panama, mercredi 23 janvier dans le cadre des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ), suscite une émotion particulière en raison du contexte très tendu au Venezuela. Mercredi soir, la voiture du Saint-Père a même dû faire une embardée pour esquiver un manifestant vénézuélien qui souhaitait sensibiliser le souverain pontife sur les évènements récents qui secouent son pays.Des JMJ très politiquesC’est la première fois que les JMJ sont organisées dans un pays de seulement quatre millions d’habitants. “On sera sans doute loin des foules observées à Rio (Brésil) ou à Cracovie (Pologne)“, explique le correspondant de France 2 au Vatican Alban Mikoczy. “Mais c’est une volonté du pape François et du Vatican que de faire des journées davantage politiques“.Et dans l’avion qui le menait au Panama, le pape François a abordé des questions telles que la construction du mur entre le Mexique et les États-Unis. “Il a estimé que ce mur était une folie de gens qui ont peur. En filigrane, il y a une critique de l’action du président Donald Trump, dont les oreilles vont certainement beaucoup vibrer à l’occasion de cette visite du pape François en Amérique centrale“, conclut Alban Mikoczy.Le JT
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JT de 8h du jeudi 24 janvier 2019 L’intégrale
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