Sur Twitter Benjamin Biolay s’est offert un droit de réponse à la critique d’une journaliste du Monde au sujet de l’album que l’autuer-inteprète a réalisé pour et avec Vanessa Paradis.
Des Love Songs découle malheureusement un peu de haine. C’est le triste constat que tire aujourd’hui Benjamin Biolay. Lui qui a oeuvré avec passion à la réalisation du dernier album romantique deVanessa Paradis s’oppose a certaines critiques bien déplaisantes selon lui.
En début de semaine c’est donc via Twitter que l’artiste tançais a décidé de répondre à Véronique Mortaigne, journaliste au Monde. Dans billet diffusé ce week-end sur le site du journal elle trace en parallèlle les parcours musicaux et personnels de Vanessa Paradis et Carla Bruni. Dans un paragraphe consacrés à leurs « compagnonnages masculins respectifs » elle évoque bien sur le travail de Benjamin Biolay qu’elle décrit comme « excellent dans le rôle du chevalier servant tendre et décadent »
Jusque la tout va bien. Mais quand la journaliste confond tambourins avec maracas et shaker, alors le sang de musicien confirmé de Benjamin Biolay ne fait qu’un tour. Il tweet « Quand une journaliste vous insulte pendant 15 ans pensez vous qu’on peut régler ça avec un petit cadeau ou du clash? un conseil ». Avec décontraction la journaliste lui a immédiatement répondu que « le tambourin c’était un compliment ». Et de Benjamin Biolay de répondre au sujet du tambourin « merci pour le tuyau j’en mettrai partout ».
On nous avait pourtant promis que la musique adoucissait les moeurs
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